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  • alors les fouteurs de merde ......................avec notre pognon

    Les syndicats, véritables trouble-fêtes, s'invitent partout pour dicter leur loi à leurs compatriotes, sans être jamais satisfaits de l'issue des conflits qu'ils provoquent.

    Mais lorsque l'on pousse la porte de leurs bureaux, c'est un véritable mondefait de privilèges, de scandales, de petits arrangements et de grands gaspillages qui s'offre à nous. Pour ceux qui en profitent, c'est une véritable vie de rêve, mais pour ceux qui en font les frais, nous autres contribuables, c'est une autre histoire...

    Pendant que vous vous serrez la ceinture, que vous êtes ponctionné de tous côtés par les impôts et taxes, votre argent finance honteusement les vacances de certains syndicalistes.

    À Montreuil, le comité des oeuvres sociales (COS) géré par la CGT s'est ainsi érigé en véritable agence de voyages  En 2011, les frais de vacances et les voyages auraient absorbé jusqu'à 90% du budget, ne laissant que 0,7% aux aides sociales. 153 024 EUR de voyages auraient été dépensés par les quatre élus cégétistes en à peine deux ans et demi  A lui seul, un élu et sa famille se seraient offert une trentaine de voyages pour un montant total de 44 000 EUR. Parmi les destinations : le Maroc, l'Egypte, le Kenya, le Québec, la Thaïlande... Le tout financé par des subventions gracieusement offertes par la collectivité locale... Pourquoi se priver ?

    Si les syndicats ne manquent jamais une occasion de saboter le départ en vacances des Français, ils savent préserver leurs loisirs, leurs comités d'entreprise (CE) étant grassement subventionnés par de l'argent public.

    En 2012, près de 20 000 agents et leurs familles se sont ressourcés dans les villages-clubs et villages-détente du CE d'Air France. Une oisiveté honteusequand on sait que l'Etat actionnaire (autrement dit : nous) vient régulièrement au secours de la compagnie, fréquemment confrontée à des trous d'air financiers.

    Ce qui est vrai dans les airs l'est aussi dans le ferroviaire. Piloté par la CGT, le CE de la RATP gère près de 80 millions d'euros  Châteaux, immeubles dans les stations de ski, hôtels au bord de la mer... Un éventail de villégiatures impressionnant que vous financez allégrement. La CGT est même propriétaire d'une réplique miniature d'un château de la Loire, dont le domaine est géré par le CE de la RATP, au sein de laquelle est organisée chaque année une fête, dont la facture s'élève à 447 000 EUR en moyenne...

    Même combat à la SNCF qui a organisé en 2011 un séminaire des managers opérationnels à Tanger (Maroc) pour un montant de 2,7 millions d'euros, soit 1 430 euros par jour et par personne !! Une gabegie scandaleuse et évidemment à nos frais...

    Et que dire du comité d'entreprise d'EDF-GDF au budget complètement démesuré, 600 millions d'euros par an ?! Pas étonnant quand on sait qu'1% de notre facture de gaz et d'électricité va directement dans les poches du comité d'entreprise 

    relever les compteurs


    Au final, c'est le CE le plus riche de France. Pendant que votre facture d'électricité ne cesse d'augmenter, ce comité se gave sur votre dos, et ceci malgré les nombreux rappels à l'ordre de la Cour des Comptes dénonçant « Gâchis financier », « réseau hypertrophié », « acquisitions coûteuses inutiles », « absences de projection économique » ...

  • Ha les fouteurs de merde

    En France, depuis bien trop longtemps déjà, les syndicats semblent intouchables. Ils sont devenus si puissants qu'on se demande parfois s'ils ne dirigent pas le pays... Mais qui sont-ils ? Qui représentent-ils ? Comment se financent-ils ? Autant de questions sur lesquelles notre association enquête depuis de nombreuses années pour tenter de vous fournir des éléments de réponse... et des solutions pour en finir !

    Autorisé en 1884, le syndicalisme a depuis prospéré pour devenir ce qu'il est aujourd'hui. En 1895, naissait la CGT, qui n'a depuis jamais cessé d'être un syndicat primaire, préférant l'affrontement au dialogue, le sabordage au compromis. Cela ne l'a pourtant pas empêché de bâtir un véritable empire sur fond de lutte des classes et de rêves de disparition du patronat. Désormais, ses ressources sont trois à quatre fois supérieures à celles des syndicats anglais ou allemands, qui comptent pourtant 5 à 10 fois plus de membres !

    Car il faut le souligner, les salariés sont de moins en moins syndiqués. En 1950, 25% des travailleurs adhéraient à un syndicat. Aujourd'hui, ils sont moins de 8%, et même moins de 3% dans le secteur privé. Les syndicats ne sont donc aucunement représentatifs !

    Les syndicats ont été créés dans l'optique de défendre les intérêts des travailleurs, et devraient être de fait exemplaires dans leur action en protégeant au mieux les citoyens. Mais aujourd'hui, leur combat s'arrête à la défense des avantages indécents et souvent obsolètes d'une minorité, dans un contexte de crise qui nécessite pourtant de grandes réformes !

    Pire encore, si la part des syndiqués dans la population française a drastiquement diminué, les montants alloués aux syndicats, eux, ont été multipliés par 20 ! Logique...

    Ce que vous ne savez peut-être pas, c'est que les syndicats ne sont financés qu'à hauteur de 3% par les cotisations de leurs adhérents ! Ils sont gavés de subventions et de fonds publics ! Chaque année, ils reçoivent 1,3 milliard d'euros. Tout cela pour brandir des menaces de grève - arme qu'ils utilisent sans restriction -, aux dépens de ceux qui les font vivre !

    En théorie, ils sont censés vivre des cotisations de leurs membres, comme, nous, nous le faisons, mais dans la pratique, il n'en est rien ! L'époque où la CGT était directement financée par le parti communiste est bel et bien révolue...

    Et à ces financement s'ajoutent certaines pratiques occultes : membres fictifs, compléments de salaires, rémunérations non déclarées, travail au noir, indemnités diverses et variées, loyers étonnamment hauts laissant planer des doutes de blanchiment d'argent ... Tout le monde semble fermer les yeux face à la toute-puissance syndicale.

    L'omerta est totale et des élus sont mêmes complices de ce racket organisé. Locaux mis à disposition, eau et électricité gracieusement offertes... tous les arrangements sont bons pour entretenir ces syndicats et leur octroyer un pouvoir de nuisance toujours plus grand.