AZERTYUIOP

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • 90 médicaments "plus dangereux qu'utiles" épinglés par la revue Prescrire

    Leurs bénéfices seraient moins importants que les risques sur notre santé. La revue spécialisée Prescrire a dévoilé jeudi dans son étude annuelle, que rapporte Europe 1une liste de 90 médicaments qui seraient, selon elle, "plus dangereux qu'utiles".

    L'étude porte sur les médicaments analysés dans Prescrire durant huit ans, de 2010 à 2017. Parmi les 90 médicaments épinglés par la revue, autorisés en France ou dans l'Union européenne, 79 sont commercialisés dans l'Hexagone.

    Il s'agit d'"anciens" médicaments toujours vendus malgré l'arrivée de concurrents plus performants ou de médicaments récents moins bons que ceux déjà existants, voire "inefficaces".

    Des marques très connues épinglées

    Parmi les médicaments "à éviter", la revue Prescrire signale le Voltarène, le Ketum (deux anti-inflammatoires), le Voltaflex (contre l'arthrose), le Motilium et le Vogalèn (des anti-vomitifs), le Valdoxan, le Seropram et le Stablon (anti-dépresseurs), l'Aricept et l'Ebixa (traitements contre l'Alzheimer).

    Sans oublier l'antithrombotique Defitelio, qui "expose à des hémorragies parfois mortelles" selon Prescrire, mais aussi le Xilocaïne, le Dolirhume et le Rhinofluimucil, qui peuvent provoquer des troubles cardio-vasculaires grave voire mortels, ou encore des antitumoraux qui "touchent de nombreuses fonctions vitales, hâtant la mort de nombreux patients".

    Prescrire conseille donc d'écarter ces médicaments, ou d'arrêter de les employer le cas échéant. En "d'impasse thérapeutique", Prescrire suggère de ne pas administrer l'un de ces médicaments, mais plutôt de proposer des soins "utiles" au patient.

    Une stratégie marketing dénoncée

    L'étude dénonce aussi "un principe commercial" qui "consiste à vendre, sous un nom de marque commun, diverses spécialités contenant des substances actives différentes exposant à des dangers différents". Elle vise ainsi, notamment, l'Actifed, l'Advil, le Clarix, le Doli, Fervex, le Fluimucil, l'Humex, et le Vicks.

    "Cette stratégie marketing, fondée sur la reconnaissance d'une marque, expose à des confusions entre les médicaments et à la méconnaissance de certains risques, par exemple d'interactions médicamenteuses", écrit Prescrire.

  • ON PAYE ...................... ON EST DES CONS

    En seulement quatre ans et demi, la France a compté 74 ministres, 5 gouvernements, 3 Premiers ministres…

    Manuel Valls a démissionné de son poste à Matignon afin de participer à la primaire de la gauche.

    Il laisse son fauteuil à Bernard Cazeneuve, auparavant ministre de l'Intérieur.

    Les déménageurs s'activent, mais les privilèges – eux – ne partent pas !

    Ce départ n'est pas gratuit pour vous.

    Le remaniement du 11 février 2016 a coûté près de 250 000 euros, pour les seuls frais de déménagement.

    Vous, vous savez ce qu'est un euro gagné à la sueur de son front.

    Tandis qu'un Premier ministre est rémunéré 14 910 euros par mois : cinq fois le salaire moyen des Français !

    Les avantages ne s'arrêtent pas à la porte de Matignon.

    Ils sont 12 anciens Premiers ministres encore en vie.

    Le montant des dépenses accordées aux anciens Premiers ministres a atteint 2,9 millions d'euros entre 2011 et 2014.

    2,9 millions d'euros, auxquels on doit ajouter 860 000 euros de frais de sécurité pour la seule année 2014.

    Même si Bernard Cazeneuve reste Premier ministre pendant six mois, il conservera son « salaire » pendant trois mois et bénéficiera de privilèges ad vitam aeternam.

    La belle vie lui est assurée, payée par vos impôts !

    Outre son titre, qu'il conservera à vie, le Premier ministre va bénéficier aussi d'une garde rapprochée jusqu'à la fin de ses jours : voiture de fonction, chauffeur, assistant, protection policière lui sont offerts par vos impôts.

    Souvenez-vous, Édith Cresson, a été Premier ministre éphémère de Mitterrand, pendant 10 mois et 18 jours, entre 1991 et 1992.

    Grâce à ce fait d'armes, elle bénéfice, elle aussi, d'avantages indus que vous payez.

    Nous dépensons chaque année 40 000 euros pour ses frais.

    Rappelons-le : étymologiquement, un ministre est un serviteur.

    Un ministre devrait ainsi venir pour servir, et non pour se servir sur le dos des contribuables…

    Nos dirigeants feraient bien de ne pas l'oublier.

    Du côté de l'Elysée aussi, la bonne soupe se conserve longtemps.

    Nos trois anciens présidents nous coûtent 9,6 millions d'euros par an.

    Les traitements et privilèges de Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy représentent une fortune pour les contribuables.

    Certes, un décret du 4 octobre 2016 a très légèrement diminué leurs avantages… Mais, seulement à partir de 2022 !

    Ce décret n'est qu'un trompe l'œil…

    Hollande bénéficiera à vie de trois collaborateurs, d'un agent de service et d'un logement meublé équipé, sans compter les policiers et gendarmes pour veiller sur ses nuits.

    Ses réceptions seront intégralement payées par nos impôts.

    Ses déplacements seront intégralement payés par les contribuables pour lui et un de ses « collaborateurs ».

    Il peut continuer à trinquer, c'est toujours vous qui paierez !

    Un président et un ministre ne devraient pas avoir de tels privilèges.

    Il faut en finir avec ces attributions dépassées qui nous coûtent une fortune.

    Alors que nous sommes matraqués d'impôts, de tels avantages sont insupportables.

  • À l'Assemblée nationale, des fonctionnaires vivent dans 170 m2 sans payer de loyer

    Des rémunérations de plusieurs milliers d'euros et des appartements gratuits

    Un document consulté par France Inter révèle ainsi que le secrétaire général de l'Assemblée, non content de gagner 18 000 euros net par mois, bénéficie d'un logement de 182 m2 à l'intérieur-même du Palais Bourbon, sans payer de loyer. Il dispose d'un majordome, qui occupe lui aussi gratuitement un appartement de 49 m2.

    Le directeur de cabinet du président de l'Assemblée, qui touche 10 000 euros net par mois, est hébergé dans un appartement de 149 m², sans s'acquitter non plus d'un loyer. Le chef du département "génie climatique" et celui du département électrique, qui gagnent tous deux 7 750 euros nets par mois, occupent des appartements de respectivement 167 m2 et 107 m2.