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REVOLUTION - Page 8

  • Ha les fouteurs de merde

    En France, depuis bien trop longtemps déjà, les syndicats semblent intouchables. Ils sont devenus si puissants qu'on se demande parfois s'ils ne dirigent pas le pays... Mais qui sont-ils ? Qui représentent-ils ? Comment se financent-ils ? Autant de questions sur lesquelles notre association enquête depuis de nombreuses années pour tenter de vous fournir des éléments de réponse... et des solutions pour en finir !

    Autorisé en 1884, le syndicalisme a depuis prospéré pour devenir ce qu'il est aujourd'hui. En 1895, naissait la CGT, qui n'a depuis jamais cessé d'être un syndicat primaire, préférant l'affrontement au dialogue, le sabordage au compromis. Cela ne l'a pourtant pas empêché de bâtir un véritable empire sur fond de lutte des classes et de rêves de disparition du patronat. Désormais, ses ressources sont trois à quatre fois supérieures à celles des syndicats anglais ou allemands, qui comptent pourtant 5 à 10 fois plus de membres !

    Car il faut le souligner, les salariés sont de moins en moins syndiqués. En 1950, 25% des travailleurs adhéraient à un syndicat. Aujourd'hui, ils sont moins de 8%, et même moins de 3% dans le secteur privé. Les syndicats ne sont donc aucunement représentatifs !

    Les syndicats ont été créés dans l'optique de défendre les intérêts des travailleurs, et devraient être de fait exemplaires dans leur action en protégeant au mieux les citoyens. Mais aujourd'hui, leur combat s'arrête à la défense des avantages indécents et souvent obsolètes d'une minorité, dans un contexte de crise qui nécessite pourtant de grandes réformes !

    Pire encore, si la part des syndiqués dans la population française a drastiquement diminué, les montants alloués aux syndicats, eux, ont été multipliés par 20 ! Logique...

    Ce que vous ne savez peut-être pas, c'est que les syndicats ne sont financés qu'à hauteur de 3% par les cotisations de leurs adhérents ! Ils sont gavés de subventions et de fonds publics ! Chaque année, ils reçoivent 1,3 milliard d'euros. Tout cela pour brandir des menaces de grève - arme qu'ils utilisent sans restriction -, aux dépens de ceux qui les font vivre !

    En théorie, ils sont censés vivre des cotisations de leurs membres, comme, nous, nous le faisons, mais dans la pratique, il n'en est rien ! L'époque où la CGT était directement financée par le parti communiste est bel et bien révolue...

    Et à ces financement s'ajoutent certaines pratiques occultes : membres fictifs, compléments de salaires, rémunérations non déclarées, travail au noir, indemnités diverses et variées, loyers étonnamment hauts laissant planer des doutes de blanchiment d'argent ... Tout le monde semble fermer les yeux face à la toute-puissance syndicale.

    L'omerta est totale et des élus sont mêmes complices de ce racket organisé. Locaux mis à disposition, eau et électricité gracieusement offertes... tous les arrangements sont bons pour entretenir ces syndicats et leur octroyer un pouvoir de nuisance toujours plus grand.

  • Alors on paye.........................

     

    « L'art de lever l'impôt consiste à plumer l'oie sans la faire crier »

    La formule attribuée à Colbert a retrouvé une nouvelle jeunesse en cette triste semaine pour les contribuables !

    François Hollande et son sbire Sapin ne sont plus à une fourberie près. La dernière en date : mettre en place le prélèvement de l'impôt à la source à compter du 1er janvier 2018.

    Avec le prélèvement à la source, les politiques se donneraient les moyens de prélever ce que bon leur semble, sans que la plupart des contribuables en soient conscients…

    Ne soyons pas dupes ! La présidentielle 2017 n'est plus très loin...

    Cette nouvelle opération d'enfumage des contribuables est assurémentune manœuvre électoraliste. Elle  détourne les médias et l'opinion publique des véritables nécessités pour la France : la réduction drastique des dépenses publiques et des impôts.
    Les enjeux sont considérables car ce projet de réforme est gravissime pour les contribuables. Il porte atteinte un peu plus encore à nos libertés, pourtant déjà bien malmenées, et à notre argent, gagné à la sueur de notre front.

    La retenue à la source est un piège pour les contribuables.

    Contribuables Associés dit non à cette réforme ourdie dans l'antre méphitique de Bercy par des hauts fonctionnaires, apprentis sorciers du Parti socialiste. L'opposition se tait face à ce projet, car elle est de mèche ! Tous ont le même objectif : plumer l'oie sans la faire crier.

    L'État surendetté et ses serviteurs politiciens de tout bord sont aux abois. Et ils sont prêts à tout pour taper dans le portefeuille des Français.

    Contribuables Associés est la voix de la résistance face à ce projet de loi inique.

    Voici en 10 points pourquoi nous devons tous nous opposer au projet de prélèvement de l'impôt sur le revenu à la source :

    1. Les contribuables ne seraient plus en mesure d'évaluer la charge de leur impôt. Un des meilleurs exemples qu'il nous faut garder en mémoire : la  CSG des salariés, prélevée à la source, a été multipliée par 7 en 7 ans dans les années 1990, sans que beaucoup de Français s'en rendent compte.
    2. Ne faisant pas l'effort de payer eux-mêmes l'impôt, certains pourraient avoir le sentiment que l'État ne coûte rien et seraient incités à demander toujours plus de dépenses publiques…
    3. Les entreprises, les artisans et commerçants employeurs seraient transformés en percepteurs de l'État : ce n'est ni leur rôle ni de leur compétence. Leur mission première est la création de richesses, pas leur dévolution au fisc !
    4. Les entrepreneurs n'ont pas les moyens financiers de cette réforme : en 2012, le Conseil des prélèvements obligatoires (une succursale de la Cour des comptes) a estimé qu'une telle mesure coûterait aux entreprises entre 1,3% et 3,5% des sommes collectées, soit une facture pouvant dépasser les 2 milliards d'euros par an.
    5. L'entreprise devrait justifier du salaire net amoindri auprès de ces salariés, y compris des augmentations d'impôts dont elle n'est pas responsable.
    6. Le coût de la collecte de l'impôt ne diminuerait pas puisqu'il faudrait toujours des agents-contrôleurs compte tenu de la complexité de notre système fiscal et du maintien de la déclaration de revenus.
    7. En ayant connaissance du taux d'imposition, les employeurs pourraient avoir accès par recoupement des données à des informations personnelles sur leurs salariés. Bercy affirme le contraire, mais on sait ce que vaut la parole d'un ministre des Finances...
    8. Le prélèvement de l'impôt à la source rendrait impossibles les demandes de remise gracieuse aux services du fisc, 215 000 en 2013. Cette réforme mettrait donc des centaines de milliers de Français dans une situation financière précaire. L'État, encore un fois, veut se servir le premier pour financer ses dépenses incontrôlées.
    9. Le prélèvement de l'impôt à la source nie le consentement à l'impôt et va à l'encontre de l'article 14 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, intégrée à la Constitution de la Ve République et prévalant donc sur toute législation : « Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
    10. Le prélèvement à la source est le premier pas que le gouvernement opère vers la fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG. La CSG aujourd'hui proportionnelle deviendrait progressive. La progressivité de l'impôt sur le revenu en France détruit l'emploi en punissant le talent et l'esprit d'innovation. Une telle réforme risquerait de porter encore plus atteinte à la prospérité des Français.

    Contribuables Associés met d'ores et déjà tout en œuvre afin de contrecarrer ce projet dangereux pour le portefeuille des contribuables (salariés, travailleurs indépendants et retraités). Car au contraire de ce que veut vous faire croire le gouvernement, rien n'est encore fait. Si notre mobilisation est à la hauteur des enjeux, nous ferons reculer le gouvernement.

    Mobilisation générale

    1ere étape de ce combat : nous vous invitons à signer et à faire partager à tous vos proches et amis notre pétition adressée à Michel Sapin, le ministre des Finances : « NON AU PRÉLÈVEMENT DE L'IMPÔT À LA SOURCE ! ».

    Signez et faites signer ! Nous ne lâcherons rien !

    Un dernier mot. Si Hollande et Sapin voulaient vraiment simplifier le système fiscal français, ils feraient ce que Contribuables Associés préconise depuis longtemps : supprimer l'impôt sur le revenu et les niches fiscales et transformer la CSG en un unique impôt proportionnel au même taux de 14% pour tous, autrement dit, la flat tax.

    Voilà ce que serait la véritable réforme pour une fiscalité plus juste et plus efficace !

    « NON AU PRÉLÈVEMENT DE L'IMPÔT À LA SOURCE ! »
    Signez et faites signer !

     

     

     

     

  • les chérubins des ministres de hollande

    Après Thomas Fabius, fils du ministre des Affaires étrangères, c'est au tour Gabriel Reveyrand de Menthon, fils de la ministre de la Santé Marisol Touraine, d'être rattrapé par la justice. Le jeune homme, âgé de 22 ans, a été incarcéré début septembre pour une peine de trois ans de prison ferme, révèle Le Parisien. Il avait été condamné en mars dernier par la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour extorsion de fonds et séquestration.  

    Agression et vol de carte bleue

    L'affaire remonte au 2 mai 2011. Avec l'aide d'un complice, Gabriel Reveyrand de Menthon a séquestré et extorqué la carte bleue d'une femme de 59 ans en faisant irruption dans son appartement du XIIIème arrondissement de Paris. La victime, ayant donné un code bancaire erroné "sous le coup de l'émotion", propose alors aux malfrats d'emporter l'argent liquide qu'elle conserve chez elle. Les deux individus s'enfuient donc avec un butin de 990 euros. 

     

    Très vite, le fils de Marisol Touraine, alors âgé de 19 ans, est identifié par la police judiciaire comme suspect grâce aux images de vidéosurveillance de la banque où Gabriel Reveyrand de Menthon a tenté d'utiliser la carte bleue de la victime. 

    Autre point troublant: le fils de la ministre habite dans un appartement de l'immeuble voisin et est reconnu par le gardien. Gabriel Reveyrand de Menthon est interpellé le 12 octobre et passe aux aveux. Il expliquera par la suite qu'il avait planifié cette extorsion pour rembourser ses dettes

    Rembourser des dettes

     

    "J'ai été très choquée par toute cette histoire, même s'ils n'ont pas exercé de violences physiques à mon encontre. Je connaissais ce garçon de vue depuis de nombreuses années. Marisol Touraine m'a adressé une petite lettre dans laquelle elle m'a présenté ses excuses" a déclaré la victime au Parisien

    En plus de sa peine de prison, Gabriel Reveyrand de Menthon a été condamné à dédommager la victime à hauteur de 3000 euros pour préjudice moral et 990 euros pour préjudice matériel. Le complice du fils de Marisol Touraine a quant à lui écopé de trente mois de détention. 

    Le cabinet de la ministre n'a souhaité faire "aucun commentaire". 

  • Ha les menteurs

    Les taxes sur l'essence devaient diminuées .....................c'est les politicards de merde qui nous l'ont dit ..

    et bien ça va augmenter , des menteurs et voleurs ces politicards de merde

  • les cochons assassins

    les cochons assassins qui sont arrêter par nos policiers ......

    mettre ces cochons contre un mur .......................pan .........

    Une idée si les parents vivent encore les pendrent ou refaire marcher la guillotine . 

    UN BON ARABE EST UN ARABE MORT