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POLITIQUE - Page 18

  • Les plus gros «boulets» du Parti socialiste

    Jean-Noël Guérini, le patron de la fédération socialiste de Marseille, devrait être mis en examen ce jeudi après-midi pour prise illégale d'intérêt, trafic d'influence et association de malfaiteurs avec son frère Alexandre en vue de trafic d'influence et de recel de trafic d'influence. «Un boulet moral» pour le PS, selon Harlem Désir, le premier secrétaire du Parti par intérim. Mais le sénateur et président du Conseil général des Bouches-du-Rhône n’est pas le seul à embarrasser le PS.

    Serge Andréoni
    C’est l’autre sénateur socialiste des Bouches-du-Rhône, convoqué dans la même affaire que Guérini. Le maire de Berre l’Etang est, lui, convoqué le 14 septembre, pour des faits présumés de complicité de trafic d’influence.

    Bernard Granié
    Lui aussi est sénateur socialiste des Bouches-du-Rhône, président du syndicat d’agglomération nouvelle ouest Provence.  La cour d'appel d'Aix-en-Provence l’a pour sa part condamné mercredi à deux ans de prison ferme, cinq ans d'inéligibilité et 100.000 euros d'amende  pour des faits de favoritisme et de corruption passive. Il avait été condamné en première instance, en janvier 2010, à un an de prison ferme pour avoir perçu 300.000 euros d'une société de traitement des déchets à laquelle il a fourni des informations confidentielles relatives à un marché public. Il n'a jamais quitté ses fonctions au San et reste adjoint à l'urbanisme de la mairie de Fos-sur-Mer.

    Sylvie Andrieux
    Toujours dans les Bouches-du-Rhône, la députée socialiste a été mise en examen,  le 8 juillet 2010, pour «complicité de détournement de fonds publics et complicité de tentative d'escroquerie». Elle est soupçonnée d'avoir fait verser plus de 700.000 euros à des associations «paravent» pour obtenir les voix d'électeurs dans sa circonscription des quartiers nord de Marseille, alors qu'elle était vice-présidente en charge de la politique de la ville au conseil régional.

    François Bernardini  
    C’est un ex-socialiste. Exclu en 2001 pour avoir mené une liste dissidente aux municipales à Istres, et avoir remporté le scrutin, il avait été contraint de démissionner l'année suivante en raison d'une condamnation à cinq ans d'inéligibilité pour abus de confiance. Il a tenté de réadhérer au Parti. Il l’a fait par internet mais le PS a rejeté sa demande mardi, puisque la réintégration de tout membre exclu doit être entérinée par la fédération des Bouches-du-Rhône et recevoir l'aval du bureau national des adhésions. Or, et c’est là que l’affaire se corse, François Bernardini, réélu à la mairie d’Istres en 2008, est également vice-président du Syndicat d’agglomération nouvelle Ouest Provence… Ainsi, il est candidat à la succession de Bernard Granié, si celui-ci devait démissionner en raison de ses ennuis judiciaires.

    Patrick Sèves
    Il n’y a pas que les Bouches-du-Rhône. Le maire de l'Haÿ-les-Roses, par ailleurs candidat aux sénatoriales dans le Val-de-Marne, a été mis en examen ce jeudi pour octroi d'avantages injustifiés et soustraction de fonds publics dans une enquête sur les marchés publics de sa ville. Le directeur des services techniques de la mairie et deux gérants d'entreprise sont déjà mis en examen dans cette enquête qui a débuté en 2010 à la suite d'un signalement de Tracfin, la cellule anti-blanchiment du ministère de l'Economie, et qui porte sur les conditions d'attribution de certains marchés publics.

    Jacques Mahéas
    C’est le sénateur-maire de Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis). Condamné en mars 2010 à une amende de 10.000 euros pour agression sexuelle sur une de ses ex-employées en 2002, il n’a été exclu du PS qu’en juillet 2011. Juste après avoir apporté son soutien à François Hollande, l’un de ses vieux amis.

    20Minutes fait le point.

    DROITE GAUCHE MEME PANIER DE CRABES

     


  • Retraites : la réforme rêvée de Nicolas et Guillaume Sarkozy

    Connaissez-vous Guillaume Sarkozy ? C'est un des frères de Nicolas. C'est aussi le DG d'un groupe d'assurance. Il y a quelques années, Guillaume dirigeait une entreprise de textile. Mais il s'est reconverti dans l'assurance santé et l'assurance retraite. C'est plus rentable. D'autant que Guillaume a des projets pour développer son affaire et il connaît quelqu'un, au sommet de l'Etat, qui veut l'aider à réaliser ses projets.


    Le 4 juin 2008,
    Le Monde a publié un document qui dévoilait les intentions de Guillaume Sarkozy :

    « La Caisse des dépôts et le groupe Médéric, qui est dirigé par Guillaume Sarkozy, veulent créer une filiale commune spécialisée dans le financement des retraites. Un document de travail daté du 16 mai et estampillé “confidentiel”, relève que, en 2020, les non-cadres subiront une baisse de 5% du taux de remplacement pour une carrière complète et les cadres subiront une baisse de 20%.

    Les grandes lignes de ce projet de partenariat sont posées : la création d'une “nouvelle entreprise d'assurance”, qui proposera “un bilan retraite et des services adaptés, en phase d'épargne et au moment de la retraite” aux salariés. L'objectif est d'atteindre un chiffre d'affaires de 7 milliards d'euros en 2019. Les futurs partenaires se fixent “des taux de rentabilité raisonnables sur le long terme”. »

    Chez les Sarkozy, on se partage le travail : Nicolas diminue le niveau des retraites et Guillaume propose des complémentaires aux salariés les mieux payés. Quelle équipe. Quel cynisme !

    « Le recul de l'âge de la retraite ne sert à rien »

    Pour comprendre comment la réforme Sarkozy va amener à une baisse quasi-générale des retraites, il faut cesser les débats pseudo-théologiques sur la « retraite à 60 ans » et regarder la réalité des chiffres : aujourd'hui, quand un salarié solde sa retraite, à 61 ans en moyenne, il est au chômage ou au RMI-RSA depuis trois ans (en moyenne). Il n'y a que 22% des salariés qui sont encore au travail quand ils partent en retraite.

    Dans ce contexte de chômage de masse, quel impact aurait l'allongement de la durée de cotisation que veut imposer le clan Sarkozy ? Une année de cotisation en plus pour bénéficier d'une retraite à taux plein ? Pour tous ceux et celles qui sont au chômage (presque 80 % des salariés), il ne sera pas possible de cotiser un an de plus. Il va leur manquer quatre trimestres. Ils subiront donc une décôte de 10% !

    Allonger la durée de cotisation sans avoir fait radicalement reculer le chômage des 58-62 ans ne peut en aucun cas « sauver les retraites ». Jean-Paul Fitoussi, président de l'OFCE, écrivait dans Le Monde du 6 mars 2001 :

    « S'il n'est pas porté remède au chômage, le recul de l'âge de la retraite ne sert à rien. Cela revient à demander aux gens de travailler plus longtemps alors qu'ils manquent déjà de travail. Le vrai problème, c'est le chômage. »

    Comment fait-on pour vivre avec 900 euros par mois ?

    Voilà comment, avec des arguments pleins de bon-sens (« l'espérance de vie a augmenté, donc il faut cotiser plus longtemps »), on prépare une baisse généralisée du niveau de vie des retraites de la Sécurité sociale. Ceux qui veulent développer les systèmes d'assurance privés sont évidemment très favorables à cette réforme mais on comprend que tous les syndicats s'opposent à ce nivellement par le bas.

    Baisser aussi fortement le niveau de vie de millions de retraités serait vraiment scandaleux : derrière les chiffres, il y a des hommes et des femmes qui veulent vivre -vivre pleinement et pas seulement survivre ou sousvivre- avec ce que la Sécu leur verse. Comment fait-on pour vivre avec 900 euros par mois ? Comment fait-on pour accueillir ses petits-enfants quand chaque sou est compté ? Un spécialiste du dossier explique :

    « Soyons clairs : sans doute faudra-t-il un jour travailler plus longtemps. Mais tant que l'on ne s'est pas donné les moyens de lutter radicalement contre le chômage, travailler plus longtemps est contre-productif.

    C'est comme quand on fait du vélo en montagne : bien sûr qu'après avoir passé le col, il faudra freiner. Mais si on freine dans la montée, on n'arrivera jamais au col ! La priorité, la seule, c'est de lutter contre le chômage et les petits boulots. »

    Dans son dernier livre, Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie, affirme que, depuis deux ans, sous prétexte de « sauver les banques », on a consacré des centaines de milliards à sauver les actionnaires des banques. Une autre stratégie, totalement différente, était possible pour sauver les banques, mais Stiglitz montre que Obama et la plupart des chefs d'Etat ont plié devant les pressions des banquiers et du « big business ».

    De même, sous prétexte de vouloir « sauver les retraites » (qui peut s'opposer à cet objectif ? ), Nicolas Sarkozy veut imposer une réforme dont l'objectif n'est absolument pas de sauver les retraites, mais de favoriser ceux qui veulent développer des systèmes d'assurance privée : son frère et ses amis.

    Augmenter le nombre de ceux qui cotisent

    Pour sauver les retraites, l'essentiel aujourd'hui n'est pas d'augmenter le nombre de trimestres de cotisation mais d'augmenter le nombre de ceux et celles qui ont un emploi, augmenter le nombre de ceux qui touchent un vrai salaire et donc augmenter le nombre de ceux qui cotisent…

    On ne pourra pas sauver les retraites si on ne parvient pas à lutter radicalement contre le chômage et la précarité. Hélas, presque trois ans après leur arrivée au pouvoir, Nicolas Sarkozy et François Fillon n'ont engagé aucune réforme pour lutter contre le chômage et la précarité. Le total des inscrits à Pôle emploi a augmenté de 800 000 en dix-huit mois, mais le gouvernement semble se moquer totalement de cette question. Ce silence en dit long sur les priorités de l'équipe au pouvoir.

    Le chômage et la précarité sont au cœur de la crise dans laquelle s'enfonce notre pays : que l'on parle du dossier des retraites, de l« 'intégration des jeunes de banlieue » ou de la défiance de plus en plus grande des citoyens vis-à-vis des politiques, on en revient toujours au lancinant problème du chômage.

    Pour vaincre le chômage, nous ne pensons pas qu'on puisse encore et toujours attendre le retour de la croissance (voir à ce sujet notre réponse vidéo à Luc Chatel : Sainte Rita fera-t-elle revenir la croissance ? ). Attendre le retour de la croissance n'est pas la solution, il faut agir !

    Voilà pourquoi, dès le mois d'avril, Europe Ecologie veut organiser dans chaque région des Etats généraux de l'emploi. En investissant massivement dans le logement, en investissant massivement dans les transports en commun, en investissant massivement dans les économies d'énergie, en développant sur tous nos territoires des réseaux de PME et des entreprises de l'économie solidaire, en favorisant une agriculture moins polluante (et plus riche en emplois), en développant les circuits courts économes en énergie mais riches en emplois non-délocalisables, en engageant vraiment la transformation écologique de nos économies, nous pouvons créer des centaines de milliers d'emplois.

    Certains voudraient nous faire croire qu'entre la crise écologique et la crise sociale, il faut choisir. C'est impossible car les deux crises sont aussi graves. Et il est tout à fait possible de répondre en même temps à la crise écologique et à la crise sociale. Dans ces deux domaines, des choses intéressantes ont été faites depuis six ans dans les régions socialistes mais il est vital, il est urgent, d'aller plus loin, plus vite. Il est vital, il est urgent d'agir avec des outils et des méthodes nouvelles. Tel est notre objectif.

    Cécile Duflot, tête de liste Europe Ecologie en Ile-de-France et secrétaire nationale des Verts.

    Pierre Larrouturou, tête de liste Europe Ecologie dans les Hauts-de-Seine.



    Photo : Nicolas Sarkozy et Guillaume Sarkozy (Philippe Wojazer et Charles Platiau /Reuters


    http://www.rue89.com/2010/03/03/retraites-la-reforme-revee-de-nicolas-et-guillaume-sarkozy-141278

  • SENATEUR

    Le Figaro nous informe que Gérard LARCHER, autre intouchable de la même caste, vient d'accorder à ces pauvres miséreux de sénateurs une allocation de survie supplémentaire venant s'ajouter à toutes les allocations de transfert sans lesquelles les représentants auto-élus de la chambre dite haute ne seraient pas à même de boucler leurs fins de mois.

    Pensez donc :

    - la paye : une indemnité mensuelle de 5.514,68 euros (il faut être précis car les cents valent plus que les centimes)

    - l'APL : une allocation de résidence qui s'ajoute d'un montant de 165,44 euros (trois fois rien mais pour des gens logés en logement de fonction, c'est quand même le beurre et l'argent du beurre)

    - une indemnité de fonction d'un montant de 1.420,03 euros : on se demande bien comment elle est justifiée puisque les gras sénateurs sont déjà défrayés par l'indemnité mensuelle ?

    - l'indemnité représentative de frais de mandat : 6.240,18 en sus dans le nourrain

    Sachant que pour les questeurs, PASTOR est questeur, s'ajoute à cette débauche une indemnité complémentaire de 11.600 euros sur laquelle le questeur socialiste en question voulait faire passer ses facturettes.

    Mazette, je vous dis mieux que la planque le job d'avenir. Et comme si ça ne suffisait pas LARCHER vient de proposer un complément de 3500 euros pour "rattrapage du coût de la vie" qui sera versé en juin.

    Le 13è mois et la prime de vacances. Elle n'est pas belle la vie d'un sénateur ?

     

    Et il faudrait pleurer sur les grandeurs et misères des courtisans ? Ce serait utiliser son intelligence à ses dépens.

  • La dernière de Roselyne Bachelot !

    Aujourd'hui, j'avais formation obligatoire sur les prélèvements (sanguins et autres). Le directeur du principal labo avec lequel notre hôpital travaille nous apprend (tenez-vous bien !) que nous, les infirmières, n'avons plus le droit de faire les prises de sang.
    > > > > > > >
    > D'après la dernière ordonnance de notre chère ministre de la santé (donc, pas de passage devant députés et sénateurs !), les laboratoires, pour subsister, devront passer une certification assez contraignante et compliquée, et pour ce faire, doivent, entre-autres, se porter garants du préleveur (c'est à dire, nous, en l'occurrence !).
    > > > > > > > > Conséquence immédiate : les infirmières ne seront autorisées à prélever que si elles ont été formées et agréées par le labo dans lequel le prélèvement est analysé ! Exit, donc, les infirmières intérimaires ou remplaçantes...
    > > > > > > > >
    > > > > > > > > Seconde conséquence, et non des moindres : l
    es prélèvements à domicile seront désormais interdits !Les patients devront donc se rendre au laboratoire par leurs propres moyens, quel que soit leur état, ou bien se faire hospitaliser !
    > > > > > > >
    >
    > > > > > > > > Troisième conséquence : les laboratoires étant tenus de s'équiper de machines hyper-performantes, avec le moins de personnel possible, (ah oui, parce que j'ai oublié de vous préciser que l'État a décidé de diminuer fortement le remboursement des examens sanguins aux laboratoires !) pour pouvoir continuer à fonctionner, ils vont devoir se regrouper (
    but final avoué : 1 à 2 labos seulement par département !!!).
    > > > > > > >
    > Bref, les hôpitaux de taille moyenne qui possèdent leur propre labo vont le fermer (c'est déjà fait à Paoli-Calmette, par exemple, Cavaillon et Orange vont suivre) et il faudra donc se déplacer vers un grand plateau technique pour faire les examens qui ne sont pas hyper-courants
    > > > > > > > > Comme ces grands plateaux techniques seront les seuls à accueillir une grande partie des examens à réaliser, nous n'aurons les résultats qu'au bout de plusieurs jours (et mieux vaut ne pas en avoir besoin un vendredi après-midi !)
    > > > > > > > > Enfin, cerise sur le gâteau : en toute discrétion, il a été décidé que
    désormais le directeur d'un labo n'a plus besoin d'être biologiste !
    > > > > > > >
    > La Générale de Santé, ainsi que d'autres grands groupes financiers sont donc en train de racheter tous les labos de France et de Navarre et il devient donc impossible à un médecin biologiste de posséder son propre labo...
    > > > > > > > > Voilà, je ne peux vous conseiller qu'une seule chose : surtout, ne tombez pas malade ! Et si toutefois cela vous arrivait malgré tout, déménagez aussitôt vers une grande ville, seul moyen d'ici très peu de temps de pouvoir être soigné dans des conditions acceptables !
    > > > > > > > > P.S. : Je viens d'entendre aux infos que le gouvernement envisage sérieusement de réduire les cotations des examens radiologiques : ça ne vous rappelle pas quelque chose ???
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    Nous avions le meilleur système de santé au monde, mais c'était avant que le gouvernement SARKOZY n'arrive au pouvoir !
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    > Emma, une infirmière démoralisée et dégoûtée.
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    > Bonjour,
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    > Emma a fait suivre l'info à une copine biologiste, voici sa réponse :
    > > > > > > >
    > étant biologiste directrice d'un petit labo (3 personnes) de proximité, je confirme cette info. L'ordonnance est passée en janvier 2010 et nous avons jusqu'en 2013 pour nous mettre aux nouvelles normes. Ce qui est totalement impossible pour les petits et moyens labos vu le coût car bien évidemment tout cela n'est pas gratuit.
    > > > > > > >
    > Donc pour ma part, étant trop petite, je suis condamnée à disparaître !!!
    > > > > > > > >
    > > > > > > >
    > A 54 ans c'est un peu dur à avaler!!!
    > > > > > > >
    > Quant aux regroupements de labos c'est un pis aller, pour faire face aux structures financières qui attendent ( comme pour les cliniques) de racheter et rentabiliser au maximum aux dépens de la relation avec les patients. Des labos traitant plus de 1000 dossiers jours ne peuvent être à l'écoute de la personne. Et effectivement à terme il n'y aura plus que 1 ou 2 labos par département y compris pour les labos des petits hôpitaux
    > > > > > > > > Ceci est le système américains, allemand, et autres pays européens.
    > > > >  
    > > > > > > > >
    Voilà donc l'avenir de la santé vendue aux grands groupes financiers.
    > > > >
    > > > > > > >
    > La ministre Mme Bachelot a validé l'ordonnance Ballereau du 15.01.2010.
    > > > >  
    > > > > > > >
    > Les conséquences sont catastrophiques...
    > > > >
     
    > > > > > > >
    > Au plus tôt en 2013 et au plus tard en 2016, les laboratoires d'analyses médicales de proximité, VOTRE laboratoire et tous les autres auront probablement DISPARU au profit d'USINES à analyses (une par département pour les départements qui le "méritent" ; pour les départements les plus ruraux il faudra faire un peu plus de route...).
    > > > >  
    > > > > > > > >
    Pourquoi ? Et bien en vertu d'une ordonnance parue en 2010 (Voir JO du 15.01.2010, page 819) qui livre le "marché" de l'analyse médicale aux FINANCIERS du CAC 40...
    > > > >  
    > > > > > > >
    > Parmi ces groupes financiers qui ont déjà largement entamé les rachats massifs de labo, figurent des assurances de santé privées, peut-être la votre, qui auront ainsi accès à vos données médicales et pourront "personnaliser" vos factures...

  • DSK

    Reconnu coupable, 7 chefs d'inculpation et non des moindres,

    MR a du fric , donc ressort du tribunal  libre,

    la caution vous avez dit combien  1 MILLION DE $ + AUTRE CHOSE

    Vous en faites pas se serait un ouvrier il resterait en tôle .....

    un mot c'est DEGUEULASSE

    Et la victime on en parle pas ...........

  • TRES TRISTE POUR NOTRE REPRESENTATION A TRAVERS LE MONDE

    IL AVAIT TOUT POUR REUSSIR , et ETRE HEUREUX MAIS....

    UN COUP DE QUEUE ET ........ SI C EST VRAIS....

    LA POLITIQUE RAPPORTE QUAND MEME .  PREUVE EN DESSOUS

    Dans la capitale, les Strauss-Kahn disposent de deux logements : un vaste appartement place des Vosges et un autre dans le XVIe arrondissement.

    Au printemps 2007, Dominique Strauss-Kahn et son épouse, la journaliste Anne Sinclair, s'entichent d'un superbe appartement place des Vosges, à Paris.  

    Le couple a eu un coup de coeur dès que l'agent immobilier a poussé la porte cochère qui masque à la vue des passants un jardin à la française tiré au cordeau. Au premier étage, les 240 mètres carrés se répartissent harmonieusement, faisant la part belle au salon. D'immenses fenêtres (la pièce principale a plus de 4 mètres sous plafond) éclairent un parquet Versailles. L'appartement compte aussi trois chambres, dont deux à l'entresol. 

    En cédant son bien aux Strauss-Kahn, le vendeur a réalisé un bénéfice important : en moins de six ans, la valeur de cette résidence, donnant sur la plus vieille - et la plus chère - place de la capitale, a doublé. La transaction se conclut à plus de 4 millions d'euros, frais d'agence compris. Une somme réglée comptant par les Strauss-Kahn.  

    PAS DE FIN DE MOIS DIFFICILES......................

    Si ce qui ce passe actuelement est vrais, comment un homme aussi intelligent puisse faire ça.

    Je plains vraiment sa famille .