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LA POLITIQUE DU PERE GLANDU - Page 10

  • LES MORPHALES................LES POLITICARDS DE MERDE

    En seulement quatre ans et demi, la France a compté 74 ministres, 5 gouvernements, 3 Premiers ministres…

    Manuel Valls a démissionné de son poste à Matignon afin de participer à la primaire de la gauche.

    Il laisse son fauteuil à Bernard Cazeneuve, auparavant ministre de l'Intérieur.

    Les déménageurs s'activent, mais les privilèges – eux – ne partent pas !

    Ce départ n'est pas gratuit pour vous.

    Le remaniement du 11 février 2016 a coûté près de 250 000 euros, pour les seuls frais de déménagement.

    Vous, vous savez ce qu'est un euro gagné à la sueur de son front.

    Tandis qu'un Premier ministre est rémunéré 14 910 euros par mois : cinq fois le salaire moyen des Français !

    Les avantages ne s'arrêtent pas à la porte de Matignon.

    Ils sont 12 anciens Premiers ministres encore en vie.

    Le montant des dépenses accordées aux anciens Premiers ministres a atteint 2,9 millions d'euros entre 2011 et 2014.

    2,9 millions d'euros, auxquels on doit ajouter 860 000 euros de frais de sécurité pour la seule année 2014.

    Même si Bernard Cazeneuve reste Premier ministre pendant six mois, il conservera son « salaire » pendant trois mois et bénéficiera de privilèges ad vitam aeternam.

    La belle vie lui est assurée, payée par vos impôts !

    Outre son titre, qu'il conservera à vie, le Premier ministre va bénéficier aussi d'une garde rapprochée jusqu'à la fin de ses jours : voiture de fonction, chauffeur, assistant, protection policière lui sont offerts par vos impôts.

    Souvenez-vous, Édith Cresson, a été Premier ministre éphémère de Mitterrand, pendant 10 mois et 18 jours, entre 1991 et 1992.

    Grâce à ce fait d'armes, elle bénéfice, elle aussi, d'avantages indus que vous payez.

    Nous dépensons chaque année 40 000 euros pour ses frais.

    Rappelons-le : étymologiquement, un ministre est un serviteur.

    Un ministre devrait ainsi venir pour servir, et non pour se servir sur le dos des contribuables…

    Nos dirigeants feraient bien de ne pas l'oublier.

    Du côté de l'Elysée aussi, la bonne soupe se conserve longtemps.

    Nos trois anciens présidents nous coûtent 9,6 millions d'euros par an.

    Les traitements et privilèges de Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy représentent une fortune pour les contribuables.

    Certes, un décret du 4 octobre 2016 a très légèrement diminué leurs avantages… Mais, seulement à partir de 2022 !

    Ce décret n'est qu'un trompe l'œil…

    Hollande bénéficiera à vie de trois collaborateurs, d'un agent de service et d'un logement meublé équipé, sans compter les policiers et gendarmes pour veiller sur ses nuits.

    Ses réceptions seront intégralement payées par nos impôts.

    Ses déplacements seront intégralement payés par les contribuables pour lui et un de ses « collaborateurs ».

    Il peut continuer à trinquer, c'est toujours vous qui paierez !

    Un président et un ministre ne devraient pas avoir de tels privilèges.

    Il faut en finir avec ces attributions dépassées qui nous coûtent une fortune.

    Alors que nous sommes matraqués d'impôts, de tels avantages sont insupportables.

  • revenu de nos politicards de merde

    Jean Marc Ayrault – 22 450 €

    Il cumule plusieurs salaires :

     
    • 2 000 €, ancien maire de Saint-Herblain.
    • 2 000 €, ancien président de l’agglomération nantaise
    • 1 800 € de l’Éducation nationale, puisque Jean-Marc Ayrault est toujours officiellement “professeur d’allemand depuis 1973”
    • 6 650 € pour une pension “plein pot” d’ancien député
    • 2 500 € environ en tant qu’ancien président de groupe à l’Assemblée nationale
    • 7 500 € en tant que ministre des affaires étrangères.
    • Jacques Chirac – 30 000 €

      Jacques Chirac cumule :

       
      • 5 250 € , sa retraite d’ancien Président de la République
      • 5 322 € , sa retraite d’ancien député de Corrèze
      • 5 000 €, en tant qu’ancien conseiller général et maire de Paris
      • 2 900 €, en tant qu’ancien membre de la Cour des comptes
      • 12 000 €, de siège de droit au conseil constitutionnel.
      • Nicolas Sarkozy – 22 150 €

        Nicolas Sarkozy cumule :

         
        • 5 250 € , sa retraite d’ancien Président de la République
        • 1 900 € , sa retraitre d’ancien député de la 6e circonscription des Hauts-de-Seine
        • 2 000€ , sa retraite de maire et de président de Conseil général
        • 13 000 €, son salaire comme membre au conseil constitutionnel.
        • Jean-Luc Mélenchon – 12 009 €

          Le député européen perçoit une indemnité de base de 7807€ ainsi qu’une indemnité de frais généraux de 4202€. Il perçoit également 298€ d’indemnité forfaitaire par jour de présence à Strasbourg.

        • Alain Juppé – 15 337 €

          Alain Juppé est le maire de Bordeaux (2700 €), mais également ancien ministre (7500€) et ancien député (5322€). Il est candidat à la Primaire de la droite et du centre.

        • Francois Fillon – 13 512 €

           actuellement député, perçoit une indemnité de 7100€, ainsi que des frais de mandat de 6412€. Il est également candidat à la Primaire de la droite et du centre.

        • Rachida Dati – 15 000 €

          Rachida Dati perçoit une indemnité de base de député européenne (7 956€), des frais de mandat (4 299€) ainsi que pour son ancien poste de maire du 7eme arrondissent de Paris (2700€).

        • Nathalie Kosciusko-Morizet – 19 807 €

          En plus de ses indemnités d’élue locale à la mairie de Longjumeau (2700€), ancien ministre (7000€), et secrétaire d’état (2900€) , Nathalie Kosciusko-Morizet touche des indemnités de député (7 100€).

        • Patrick Balkany- 16 270 €

          Député des Hauts de Seine (13570€), Patrick Balkany est également maire de Levallois-Peret (2700€). Sa femme et lui avaient été mis en examen pour corruption et blanchiment de fraude fiscale.

        • Eric Woerth – 16 874 €

          Les salaires d’Eric Woerth correspondent à ses titres de député (5514€ de salaires et 6400€ de frais de mandat), sa retraire d’ancien maire de Creil (2400€) , et son titre de Président de communauté de commune (2560€). Il est mis en examen en 2012 pour trafic d’influence passif dans l’affaire Betancourt.

        • Harlem Desir – 12 249 €

          Harlem Desir perçoit un salaire en tant que député européen (7950€ de salaire de base, 4299€ de rémunérations de frais généraux en France et 304€ par jour de présence aux réunions). Il a été président de l’association SOS Racisme de 1984 à 1992.

        • Julien Dray – 9 917 €

          Julien Dray perçoit 3 725€ en tant que Vice Président Conseil Régional de l’IDF et 6 192€ de retraite de Député, fonction qu’il a occupé pendant 24 ans. Ces montants ne tiennent pas compte des montants perçus pour la vente de ses livres.

  • Eencore des politicards

    malgré ses dénégations à l'audience, l'ancienne sous-préfète de Grasse, Dominique-Claire Testart risque bien trois ans de prison ferme. Elle est jugée pour corruption passive de 2011 à 2013​​​​​​ avec son ex-mari, un entrepreneur du BTP mais aussi un trafiquant en fuite, un marchand de biens et un agent immobilier. Trois ans de prison ferme, c'est ce qu'a demandé la représentante du parquet, Laetitia Manouvrier, qui a également requis lors de ce deuxième jour de procès, 20 000 euros et une interdiction de toute fonction publique à l'encontre de cette énarque de 59 ans au profil atypique.

     

  • MOI

    Je mange du COCHON  et j'aime le COCHON ..........................................................

  • RÉVOLUTION DÉGAGEZ POLITICARDS DE MERDE TOUS............

     

    Plutôt que d'envoyer des milliards pour subventionner des associations politisées, financer des comités Théodule, redessiner la carte des régions et gaspiller toujours plus pour la politique de la ville : l'Etat doit reprendre la main sur notre sécurité.

    Les militaires, privés du droit de grève, sont devenus la variable d'ajustement budgétaire de politiciens clientélistes. Pendant ce temps, Hollande cède systématiquement aux syndicats et aux lobbys dépensiers. Par contre, le Président normal n'écoute jamais le cri silencieux de la « Grande Muette ».

    Que dire aussi des conditions déplorables dans lesquelles sont logés nos militaires pendant l'opération Sentinelle ? On peut débattre du bien-fondé de cette stratégie, mais je m'insurge lorsque je vois que nos soldats sont extrêmement mal logés à Paris, tandis qu'Hollande multiplie les cadeaux pour assurer sa réélection.

    La France doit se doter d'un budget de sécurité nécessaire pour affronter les terroristes, sans augmenter les déficits et les impôts. Pour cela, il faut avoir le courage de tailler dans les dépenses publiques inutiles en menant notamment des réformes dans les administrations et les collectivités.

    Récemment, et très discrètement, un décret a annulé 1,56 million d'euros devant servir à soutenir la politique de défense pour les affecter à « l'action extérieure de la France dans l'Europe et dans le Monde ».
    Un autre décret a annulé 40 593 euros dédiés à la préparation et l'emploi des forces armées.
    En décembre 2015, Contribuables Associés a révélé dans le plus grand silence médiatique l'annulation de nombreux crédits destinés à l'armée et aux prisons, transférés en aides à la presse.
    Ces sommes privent les forces armées de moyens nécessaires à l'accomplissement de leurs missions.

    Il faut tailler dans les dépenses publiques inutiles, et non dans notre sécurité !

    Contribuables Associés a interpellé les élus à de nombreuses reprises sur ce sujet. Avant les tragiques événements de novembre dernier, nous alertions déjà les députés lors d'un Rendez-Vous Parlementaire sur le thème de  « l'armée sacrifiée à l'Etat providence » avec Nicolas Dhuicq député de l'Aube, le Général Didier Tauzin et Laurent Artur du Plessis, journaliste et auteur d'ouvrages de prospective économique et géopolitique.
    Nous avons convié l'ensemble des parlementaires pour leur faire passer ce message : notre sécurité passe avant leurs gaspillages !

    L'Etat doit faire des choix, et se recentrer sur ses missions essentielles.

    Plutôt que de serrer toujours plus la ceinture des militaires et des classes moyennes, les gouvernants doivent sabrer dans les gaspillages d'argent public, en commençant par revoir leur statut, avantages, retraite etc….  En cette veille du 11 novembre, ce serait un bel hommage pour nos soldats, policiers et gendarmes qui assurent notre sécurité au quotidien.

     

     





     

  • VOILA CE QUE VEULENT LES POLITICARDS DE MERDE

    Si vous êtes propriétaire, lisez attentivement ce qui suit…

     

    Cette semaine, l’Observatoire français des conjectures économiques vient de pondre un rapport proposant de taxer les propriétaires occupants. Ces chercheurs politisés souhaitent « une taxation  des  loyers  implicites,  par  exemple, en  faisant  payer  aux  propriétaires  des prélèvements sociaux ».

     

    En clair, il s’agirait d’ajouter un revenu fictif aux propriétaires correspondant aux montants des loyers qu’ils auraient payés pour occuper le logement, puis de fiscaliser ce revenu.

    NON au matraquage fiscal des propriétaires !

    Après Thomas Piketty en 2011, l’OCDE et le Conseil d’analyse économique en 2013, puis le think-thank socialiste Terra Nova en 2015 : l’idée de faire payer des prélèvements sociaux aux propriétaires occupants gagne du terrain.

    Vous vous êtes battus toute votre vie pour acquérir votre logement, pour vous mettre à l’abri, vous et votre famille. A cause d’une poignée d’olibrius, votre droit de propriété est aujourd’hui menacé. Pire encore, vos enfants, vos héritiers, seront taxés à leur tour chaque mois sur le bien que vous leur transmettrez…

    Il y a quelques mois, Michel Sapin a affirmé être opposé à ce qu’il qualifiait alors de « folle rumeur »… Mais, vous savez ce que vaut la parole d’un ministre des Finances.

     

    Contribuables Associés se mobilise contre toute taxation des propriétaires sur un loyer fictif.

    Nous ne laisserons rien passer.

    Nous maintenons notre vigilance absolue contre toute création de taxe.

    Nous vous tiendrons informés des suites de ce projet qu’il faut contrer dès maintenant.

    NON à une taxe sur les loyers fictifs !V